Codex Urbanus
Website: www.codexurbanus.com
Expositions
Œuvres
Fig 574: Chimera Volklingensis
Codex Urbanus Fig 574 II
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte / Karl Heinrich Veith
Datation
2022, in situ
Matériau
Kreide
Description
Avec Codex Urbanus, le nom de l’artiste et l’œuvre se confondent. Fils de pharmacien né en 1974 à Paris, Antoine Techenet est fan de rock. Alors qu’il s’ennuie à exercer un métier bien rangé, il se met à dessiner d’étranges bestioles. Depuis, Codex Urbanus fait naître de nouvelles créatures à partir d’espèces animales connues de l’histoire naturelle. Les bêtes ayant besoin d’un habitat, il a voulu réintroduire ses chimères dans la nature. Quoi de mieux que les murs de Montmartre, biotope connu depuis longtemps pour être le refuge d’une faune interlope... Fort de sa bonne éducation, il hésite d’abord à embrasser directement le graffiti. Il commence donc par des plaques de céramique et passe ensuite au dessin mural avec des couleurs et des marqueurs. Lorsque ce « vandale alchimique » libère ses créatures, il leur donne – en parfait explorateur – la désignation latine qui se doit. C’est ainsi qu’on peut rencontrer Suricatta Sepianæ, la pieuvre-suricate, ou Mamothos Araneus, un croisement entre un mammouth et une araignée. Comment les indigènes réagissent-ils à ces espèces invasives ? Il n’y a qu’à demander Codex. L’artiste confie que si de prime abord, ses monstres ont quelque chose de dérangeant, ils sont surtout très amusants pour les enfants ! Les Curiosus Homines de tous âges peuvent désormais partir à la découverte de l’habitat postindustriel sur le chemin qui mène de l’usine sidérurgique de Völklingen à la ville de Völklingen.
Robert Kaltenhäuser
Steam Burlesque
CU AFFICHE CODES DE 1
Copyright: Codex Urbanus
Datation
2022, in situ
Dimensions
270 x 125 cm
Matériau
Papier
Description
L’artiste parisien Antoine Techenet, alias Codex Urbanus, s’est notamment fait connaître par ses animaux fantastiques. A l’occasion de la Biennale d’art urbain 2022, les voici qui colonisent l’espace urbain de Völklingen, plus exactement le passage souterrain entre le Patrimoine culturel mondial et la gare. Dans la zone d’exposition du site de l’usine sidérurgique, il a en revanche créé de malicieuses affiches de films et de pièces de théâtre pour orner la colonne Morris située au pied de l’escalier menant à la plate-forme du gueulard. Là aussi, ses bestioles sont de la partie. Sauf que la véritable star de ses productions imaginaires n’est autre que l’usine sidérurgique de Völklingen. Son aspect brutal en fait aux yeux de l’artiste un lieu d’épouvante idéal. Raison pour laquelle Völkzilla, référence à peine masquée à Godzilla, sème la terreur non pas entre les gratte-ciel de Tokyo comme son modèle, mais parmi les cheminées fumantes de l’usine sidérurgique de Völklingen. Elément essentiel à cette grammaire visuelle en parfaite adéquation avec l’épouvante en mode steam burlesque, Antoine Techenet réalise le miracle de la socialisation entre gothic et steampunk.
Sans titre
2022, in situ
Fig 537: Aristeis Globus
Codex Urbanus Globus Unterf
Copyright: Weltkulturerbe Völklinger Hütte / Karl Heinrich Veith
Datation
2022, in situ
Dimensions
120 x 200 cm
Matériau
Peinture aérosol, laque, béton
Description
Avec Codex Urbanus, le nom de l’artiste et l’œuvre se confondent. Fils de pharmacien né en 1974 à Paris, Antoine Techenet est fan de rock. Alors qu’il s’ennuie à exercer un métier bien rangé, il se met à dessiner d’étranges bestioles. Depuis, Codex Urbanus fait naître de nouvelles créatures à partir d’espèces animales connues de l’histoire naturelle. Les bêtes ayant besoin d’un habitat, il a voulu réintroduire ses chimères dans la nature. Quoi de mieux que les murs de Montmartre, biotope connu depuis longtemps pour être le refuge d’une faune interlope... Fort de sa bonne éducation, il hésite d’abord à embrasser directement le graffiti. Il commence donc par des plaques de céramique et passe ensuite au dessin mural avec des couleurs et des marqueurs. Lorsque ce « vandale alchimique » libère ses créatures, il leur donne – en parfait explorateur – la désignation latine qui se doit. C’est ainsi qu’on peut rencontrer Suricatta Sepianæ, la pieuvre-suricate, ou Mamothos Araneus, un croisement entre un mammouth et une araignée. Comment les indigènes réagissent-ils à ces espèces invasives ? Il n’y a qu’à demander Codex. L’artiste confie que si de prime abord, ses monstres ont quelque chose de dérangeant, ils sont surtout très amusants pour les enfants ! Les Curiosus Homines de tous âges peuvent désormais partir à la découverte de l’habitat postindustriel sur le chemin qui mène de l’usine sidérurgique de Völklingen à la ville de Völklingen.
Fig 662: Canis Mechachelodo
2022, in situ
Sans titre
2022, in situ
Sans titre
2022, in situ
Sans titre
2022, in situ
Fig 574: Chimera Volklingensis
2022, in situ